Après avoir passé mes deux premières années dans la presse écrite, entre Le Monde et Les Echos, je suis entrée à Libération en 1992. Chef d'édition des rubriques Vous, France, Economie jusqu'en 1998... j'ai ensuite pris la responsabilité du service Infographie. En 2000, j'ai définitivement laissé tomber le papier pour Libération.fr. Une riche époque marquée par l'irruption de l'information en continu, du multimédia et de l'interactivité. J'ai quitté Libération en 2007 pour fonder avec Judith Rueff l'agence de web-documentaire Ligne 4. J'ai rejoint Mediapart à la fin de l'année 2009.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Alors que de «nouvelles sortes de censure et de propagande» envahissent le Web, comme le démontre Evgeny Morozov en ouverture du MedienKongress 2011, vendredi 8 avril à Berlin, des blogueurs impliqués dans les mouvements révolutionnaires lui opposent la sécurité de leurs identités numériques.
Quelles ressources énergétiques pour lutter contre le changement climatique? C'est l'objet des recherches de Bob van der Zwaan (Centre de recherche sur l'énergie des Pays-Bas).
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
La Bulgarie doit se prononcer mercredi 4 mai sur l’envoi d’armes à l’Ukraine, dans un scrutin loin d’être gagné pour le premier ministre. L’occasion d’un entretien avec Albena Dimitrova, ancienne négociatrice de l’entrée de la Bulgarie dans l’Union européenne, sur le cheminement du capitalisme, de l’ancienne « Europe de l’Est » à Chine.
Etre un petit dégât collatéral. Eprouver le besoin de s’adresser à un spécialiste de PTSD, post traumatic syndrom disorder, après avoir passé sa vie, plus de la moitié de sa vie, avec un spécialiste de la chose. On ne se dit plus au revoir, à Paris, on se dit bon courage.