Né en 1980 à Périgueux (Dordogne). A Mediapart, j'ai suivi l'actualité économique et sociale, la révolution tunisienne, le quinquennat de François Hollande, raconté l'OPA d'Emmanuel Macron sur la présidence de la République, couvert le mandat Trump depuis les Etats-Unis.
Désormais co-présentateur d' «A l'air libre », l'émission quotidienne en accès libre de Mediapart.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Les députés socialistes ont déposé 1400 amendements au projet de loi sur la représentativité syndicale et le temps de travail, dont l'examen à l'Assemblée nationale débute ce mardi. Le PS a beau jeu de montrer ses muscles : ce texte, qui remet en cause les 35 heures, Nicolas Sarkozy le veut. L'opposition crie au démantèlement du code du travail.
Le ministre du travail Xavier Bertrand a présenté, vendredi 27 juin, ces idées pour la réforme de la médecine du travail. Les docteurs se sentent impuissants face à l'émergence de nouvelles souffrances au travail. Ils voient proliférer stress, surmenage, suicides, harcèlements, et n'arrivent pas à y répondre. Lire aussi "la grande réforme de la médecine du travail attendra".
Le ministre du travail Xavier Bertrand présente ce vendredi ces idées pour la réforme de la médecine du travail. La profession, dont les effectifs fondent, s'interroge sur son rôle. Depuis plusieurs mois, les rapports officiels ne manquent pas. Tous plus ambitieux les uns que les autres, par les réformes proposées, ils mettent en évidence la crise profonde de ce secteur. Le gouvernement a choisi une réforme sage. Pas la révolution que certains espéraient. Décryptage. Lire aussi : "Les médecins du travail désemparés face au stress croissant des salariés".
Les franchises médicales instaurées au 1er janvier ne sont qu'une nouvelle étape dans un long processus d'économies et de déremboursements entamé il y a plus de trente ans. L'assurance maladie n'a cessé de réduire ses prestations, sans grand effet sur le fameux trou de la Sécu. Retour sur les épisodes précédents. Lire également: paroles de malades.
A la demande du gouvernement, la caisse d'assurance maladie proposera jeudi un plan d'économies sans précédent pour réduire à 2,9 milliards d'euros le déficit, qui pourrait atteindre jusqu'à 6 milliards d'euros en 2009. Problème: les plus démunis et les malades de longue durée sont la cible principale d'un plan qui, entre autres mesures, s'attaque à la prise en charge du diabète et à l'hypertension. Lire aussi : «La Sécu dérembourse à tour de bras».
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Ce 11 mai, la France entame son déconfinement. Le virus est toujours là, beaucoup reprennent le travail, les écoles ouvrent timidement, les difficultés sociales s'amoncellent. « A l'air libre », l'émission vidéo de Mediapart a besoin de vos témoignages. Racontez-nous votre quotidien!
Le coronavirus nous déboussole, nous saisit, nous terrifie, nous confine, change nos vies. Témoignez dans notre émission vidéo quotidienne « À l’air libre ».
Donald Trump vient de menacer de taxer les importations mexicaines d'ici le 10 juin « si le problème de l'immigration illégale n'est pas résolue ». Le président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, a répondu avec ironie. Et en lui rappelant les règles élémentaires de la « non-violence » et de la diplomatie. Voici sa lettre, traduite en français.
Jeudi, Emmanuel Macron m'a sermonné. Publiquement, devant des centaines de journalistes et tous ses soutiens réunis. Il m’a donné du « cher ami », cette expression qui suggère la condescendance avec politesse. M’a reproché de « faire le lit du Front national ».
Le soir, il est rare que je rentre chez moi en tremblant. C'est pourtant arrivé mercredi soir. Je ne revenais pas d'un terrain de guerre. Je n'avais pas passé ma journée à parler à des rescapés de la tuerie de vendredi. Ce soir-là, je rentrais juste de l'Assemblée nationale.