Né en 1980 à Périgueux (Dordogne). A Mediapart, j'ai suivi l'actualité économique et sociale, la révolution tunisienne, le quinquennat de François Hollande, raconté l'OPA d'Emmanuel Macron sur la présidence de la République, couvert le mandat Trump depuis les Etats-Unis.
Désormais co-présentateur d' «A l'air libre », l'émission quotidienne en accès libre de Mediapart.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) a transmis ce mercredi au parquet son rapport d'enquête sur de présumés délits d'initiés au sein d'EADS, et transmis ses griefs aux dix-sept personnes citées dans ce dossier, que Mediapart a révélé mardi. Cette révélation, relayée par de nombreux médias français et internationaux, a fait réagir EADS, l'AMF et certains des dirigeants cités. Lire aussi le détail du rapport de l'AMF, le cas Lagardère et l'analyse sur sa stratégie de communication.
En proposant de racheter Geodis, le nouveau président de la SNCF, Guillaume Pépy, s'inspire du modèle de la Deutsche Bahn. L'entreprise publique allemande transporte aujourd'hui plus de marchandises que de voyageurs. Bientôt privatisée, elle fonctionne depuis longtemps comme une entreprise privée.
ArcelorMittal a confirmé, vendredi 4 avril, aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
ArcelorMittal a confirmé vendredi aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
ArcelorMittal a confirmé vendredi aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
ArcelorMittal a confirmé vendredi aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
ArcelorMittal a confirmé vendredi aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
ArcelorMittal a confirmé vendredi aux syndicats la fermeture d'une partie de l'usine de Gandrange, en Moselle. Le bureau du directeur de l'usine a été mis à sac, des syndicalistes en sont venus aux mains. Après deux mois d'incertitude sur leur sort, les salariés sont exaspérés. Et d'autant plus en colère que Nicolas Sarkozy en personne avait promis de ne pas les laisser tomber.
Après dix-sept jours de grève de la faim, les trois ouvriers grecs en conflit avec un sous-traitant des Chantiers de l'Atlantique à Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) ont été indemnisés et s'apprêtent à rentrer chez eux. La direction des chantiers a finalement cédé. Il y a dix jours, Mediapart était allé à la rencontre de Boris, Nikos et Leonidas.
Alors que PSA a confirmé lundi 31 mars le suicide d’une de ses anciennes employées, le septième cas depuis début 2007, Mediapart a décidé de lancer le débat sur le stress lié à l’activité professionnelle et sur les suicides au travail.
Gerdau, le sidérurgiste brésilien qui s'est officiellement porté candidat à la reprise de l'usine ArcelorMittal de Gandrange, n'est pas un exemple de dialogue social. En 2005, il a tout simplement fermé pendant six mois une de ses usines américaines parce que des négociations avec les syndicats n'avançaient pas. Une pratique totalement illégale.
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Ce 11 mai, la France entame son déconfinement. Le virus est toujours là, beaucoup reprennent le travail, les écoles ouvrent timidement, les difficultés sociales s'amoncellent. « A l'air libre », l'émission vidéo de Mediapart a besoin de vos témoignages. Racontez-nous votre quotidien!
Le coronavirus nous déboussole, nous saisit, nous terrifie, nous confine, change nos vies. Témoignez dans notre émission vidéo quotidienne « À l’air libre ».
Donald Trump vient de menacer de taxer les importations mexicaines d'ici le 10 juin « si le problème de l'immigration illégale n'est pas résolue ». Le président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, a répondu avec ironie. Et en lui rappelant les règles élémentaires de la « non-violence » et de la diplomatie. Voici sa lettre, traduite en français.
Jeudi, Emmanuel Macron m'a sermonné. Publiquement, devant des centaines de journalistes et tous ses soutiens réunis. Il m’a donné du « cher ami », cette expression qui suggère la condescendance avec politesse. M’a reproché de « faire le lit du Front national ».
Le soir, il est rare que je rentre chez moi en tremblant. C'est pourtant arrivé mercredi soir. Je ne revenais pas d'un terrain de guerre. Je n'avais pas passé ma journée à parler à des rescapés de la tuerie de vendredi. Ce soir-là, je rentrais juste de l'Assemblée nationale.