Journaliste à Mediapart.
Sinon, des années à Libération, trois ans aux Inrockuptibles, auteur du «Naufrage de la psychiatrie» et de «Nos chères 35 heures» tous deux publiés chez Albin Michel en 2006 et 2008.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Plus de 90 dossiers reçus cette année, et quatre retenus pour être aidés dans leur finalisation. Ils parleront de la psychiatrie à l'hôpital public, des fractures du Liban, de la vie avec le cancer et d'une histoire de sanglier dans les Cévennes.
Antoine Dubos signe un documentaire étonnant, tourné dans l'école de police de Oissel, en Normandie. Se révèlent ici la vision du monde et de ses dangers qu'intègrent des forces de l'ordre. Quelques séances en salle sont programmées.
La pollution du fleuve Rio Doce au Brésil, des conversations entre détenus et surveillants de prison, la vie abimée d'une rivière et les souvenirs d'anciens pensionnaires d'un centre de redressement en Savoie, sont les thématiques abordées par les films sélectionnés.
Le photographe qui a publié en mars dernier sur Mediapart l'histoire de « Peyo, cheval soignant en soins palliatifs » a reçu vendredi le Visa d'or Magazine lors du festival Visa pour l'Image de Perpignan.
Avec « Le fils de l'épicière, le maire, le village et le monde », la réalisatrice Claire Simon fait, à travers ses habitants, le portrait de Lussas en Ardèche, un village où culture et agriculture se nourrissent mutuellement.