Journaliste à Mediapart.
Sinon, des années à Libération, trois ans aux Inrockuptibles, auteur du «Naufrage de la psychiatrie» et de «Nos chères 35 heures» tous deux publiés chez Albin Michel en 2006 et 2008.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Depuis un mois, Mediapart vous a emmenés sur les routes de la crise. «Nous sommes au fond d'un trou, comme sidérés par l'ampleur du choc», dit Bernard Gazier, économiste à Paris-I. Pour retrouver tous les reportages de "Sur la route de la crise", faites glisser la souris sur le diaporama. (En cliquant sur le rectangle en bas à droite – juste à côté de "share" – vous obtiendrez aussi un affichage plein écran).
Plus de 1.500 professionnels de la psychiatrie se sont réunis samedi à Montreuil (93) à l'appel de «La nuit sécuritaire». Fortement mobilisés face au discours de Nicolas Sarkozy visant à placer davantage sous surveillance les malades, ils promettent «résistance» et «désobéissance» notamment par l'envoi de lettres aux préfets, la mise en place d'un collectif d'avocats pour le respect des droits des patients... Reste que le temps est compté, un projet de loi étant promis au printemps.
Six cents personnes ont participé à la journée de l'Appel des appels, samedi 31 janvier au CentQuatre, à Paris. Une forte mobilisation autour des inquiétudes que suscitent les multiples réformes de l'Etat articulées autour des notions d'«évaluation» et de «rentabilité». Une forte mobilisation qu'il ne fut pas toujours facile de canaliser tant la diversité des mouvements et des secteurs concernés est grande. Compte-rendu.
L'Appel des appels organise sa première réunion samedi 31 janvier, au Cenquatre à Paris. Ce collectif vise à rassembler tous les signataires des pétitions initiées à la suite des réformes engagées ou annoncées à l'éducation nationale, l'audiovisuel public, la santé, la justice. A la tribune interviendront notamment Laurent Mucchielli (directeur de recherche au CNRS), Isabelle This Saint Jean (Sauvons la recherche), David De Pas (syndicat de la magistrature), Philippe Meirieu...
Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Plus de 90 dossiers reçus cette année, et quatre retenus pour être aidés dans leur finalisation. Ils parleront de la psychiatrie à l'hôpital public, des fractures du Liban, de la vie avec le cancer et d'une histoire de sanglier dans les Cévennes.
Antoine Dubos signe un documentaire étonnant, tourné dans l'école de police de Oissel, en Normandie. Se révèlent ici la vision du monde et de ses dangers qu'intègrent des forces de l'ordre. Quelques séances en salle sont programmées.
La pollution du fleuve Rio Doce au Brésil, des conversations entre détenus et surveillants de prison, la vie abimée d'une rivière et les souvenirs d'anciens pensionnaires d'un centre de redressement en Savoie, sont les thématiques abordées par les films sélectionnés.
Le photographe qui a publié en mars dernier sur Mediapart l'histoire de « Peyo, cheval soignant en soins palliatifs » a reçu vendredi le Visa d'or Magazine lors du festival Visa pour l'Image de Perpignan.
Avec « Le fils de l'épicière, le maire, le village et le monde », la réalisatrice Claire Simon fait, à travers ses habitants, le portrait de Lussas en Ardèche, un village où culture et agriculture se nourrissent mutuellement.