Le jour où l’altermondialisme a failli suffoquer

Été 2001 : le pouvoir italien réprime avec une violence inouïe le contre-sommet du G8, faisant un mort. Le roman noir de Frédéric Paulin, « La Nuit tombée sur nos âmes », replonge avec brio dans l’événement qui a mis un coup d’arrêt au mouvement altermondialiste. 

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L’anniversaire est passé quasiment inaperçu. L’année dernière, le contre-sommet du G8 à Gênes a eu 20 ans. Peu de commémorations ont fleuri. Pourtant, l’événement annonçait une ère nouvelle, dont on ressent aujourd’hui de manière aiguë les effets mortifères. Le rassemblement de 400 000 personnes venues du monde entier, entre le 19 et le 22 juillet 2001, en marge du G8, a marqué à la fois le point d’orgue du mouvement altermondialiste, et le moment où il a manqué d’expirer sous les coups du libéralisme autoritaire. 

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