L’année 2016 a bien commencé pour Alain Finkielkraut. À la fin du mois de janvier, il a été officiellement reçu à l’Académie française, où il avait été élu le 10 avril 2014. Garde républicaine, roulements de tambours… Le décorum habituel a encadré cette cérémonie d’entrée sous la « Coupole », comme on appelle souvent l’Académie. Le chef de file des « antimodernes » a ainsi rejoint une institution vieille de près de quatre siècles – ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle également « la vieille dame du quai Conti ».
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L’année 2016 a bien commencé pour Alain Finkielkraut. À la fin du mois de janvier, il a été officiellement reçu à l’Académie française, où il avait été élu le 10 avril 2014. Garde républicaine, roulements de tambours… Le décorum habituel a encadré cette cérémonie d’entrée sous la « Coupole », comme on appelle souvent l’Académie. Le chef de file des « antimodernes » a ainsi rejoint une institution vieille de près de quatre siècles – ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle également « la vieille dame du quai Conti ».
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