Ce serait s’en déprendre par avance que de prétendre pouvoir se représenter une société tout entière, mais on peut faire de ses explorations autour de soi, plus encore qu’une nécessité de vie partagée, le siège même de ce qui fonde les attentes les plus secrètes. Instituteur de formation, le poète Patrick Laupin s’est ainsi tout d’abord appliqué à recueillir la parole des mineurs cévenols de son enfance : cette parole du fond, il fallait la faire vibrer à la surface de l’humain, et rendre audible sa réalité terrestre.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Ce serait s’en déprendre par avance que de prétendre pouvoir se représenter une société tout entière, mais on peut faire de ses explorations autour de soi, plus encore qu’une nécessité de vie partagée, le siège même de ce qui fonde les attentes les plus secrètes. Instituteur de formation, le poète Patrick Laupin s’est ainsi tout d’abord appliqué à recueillir la parole des mineurs cévenols de son enfance : cette parole du fond, il fallait la faire vibrer à la surface de l’humain, et rendre audible sa réalité terrestre.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous