Si la France n’était pas si frileuse, si la France savait regarder la réalité en face, cette audience eût été filmée, en guise de document pour l’histoire. Dans la salle des criées du palais de justice de Paris, un vieux monde politique, judiciaire, anthropologique, le mercredi 3 juillet 2013, geignit, grinça et regimba sous les coups de boutoir de plaignants qui refusent de s’en laisser conter davantage : les contrôles au faciès, basta !
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous