Nadeem Aslam a la courtoisie chevillée au corps, une capacité d’attention intense, et c’est heureux, car il n’a pas chômé, depuis janvier dernier. Son dernier roman, Le Jardin de l’aveugle, est sorti d’abord en Inde, une semaine plus tard en Angleterre, puis aux États-Unis, puis en Europe, un peu partout, France comprise. On le demande.
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