Les tableaux, dessins et documents composant l’exposition qui ouvre, mercredi 5 octobre, au Grand Palais n’ont pas été volés. Mais il a tout de même fallu un véritable travail de détective pour les donner à voir aujourd’hui. Dispersés du vivant des frères et sœurs Stein ou après leur mort, échappant aux inventaires, passés de main en main au cours du XXe siècle, ils forment aujourd’hui les membres retrouvés d’une des plus importantes collections d’art moderne au monde.
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