Anselm Jappe s’est lancé dans l’écriture de son nouvel essai après l’effondrement en août 2018 du pont de Gênes. Si l’enquête judiciaire en Italie s’est centrée sur les négligences d’Aspi, une société qui gère la moitié des autoroutes du pays, le philosophe marxiste, spécialiste de Guy Debord, propose une lecture différente de la catastrophe : il y voit le signe de « l’obsolescence programmée » de ce pont en béton armé, inauguré en 1967.
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Anselm Jappe s’est lancé dans l’écriture de son nouvel essai après l’effondrement en août 2018 du pont de Gênes. Si l’enquête judiciaire en Italie s’est centrée sur les négligences d’Aspi, une société qui gère la moitié des autoroutes du pays, le philosophe marxiste, spécialiste de Guy Debord, propose une lecture différente de la catastrophe : il y voit le signe de « l’obsolescence programmée » de ce pont en béton armé, inauguré en 1967.
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