C’est un petit morceau d’Histoire, mais une grande tragédie humaine, que Gigi Riva a publié au début de l’été. Dans un court récit ciselé comme un polar, le célèbre journaliste italien (il est rédacteur en chef de l’hebdomadaire L’Espresso) file la parabole du Dernier Penalty, celui de Faruk Hadzibegic lors du quart de finale du mondial 1990 contre l’Argentine. En arrière-plan, ce sont les derniers jours de la Yougoslavie qui se jouent, comme un drame théâtral, dans le huis clos fataliste d’un vestiaire.
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