Alors qu’un cessez-le-feu a été mis en place dans le sud-ouest de la Syrie, qu’on discute du contour de « zones de désescalade » et que le président Macron a d’ores et déjà, sur le régime Assad, désavoué le candidat Macron, quel peut être « l’après-demain » de la Syrie, dont le présent s’enfonce chaque jour dans le désastre ? Entretien avec l’historien et ancien diplomate Jean-Pierre Filiu.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
Est-il vraiment possible de penser « l’après-demain » de la Syrie tant que le présent de ce pays est constitué d’un quotidien fait de tortures, de sang, de disparitions, de drames individuels et de punitions collectives ? Peut-on envisager autre chose qu’un enfoncement accru dans la tragédie pour le peuple syrien ? Et si oui, à quelles conditions ?
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.