Vingt-cinq ans après les accords de Matignon et quinze ans après ceux de Nouméa, le musée du quai Branly consacre une exposition inédite à l’art et à la culture kanaks, féconde esthétiquement et politiquement. Visite avec l’anthropologue spécialiste des mondes kanaks Alban Bensa qui explique comment « la parole, tenue ou non tenue, a été un leitmotiv de la lutte des Kanaks ».
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« Le passé a été le temps de la colonisation. Le présent est le temps du partage, par le rééquilibrage. L'avenir doit être le temps de l'identité, dans un destin commun. » Il y a 15 ans, l’accord de Nouméa sur la Nouvelle-Calédonie, signé le 5 mai 1998, tentait de clore la décennie sanglante des années 1980, en particulier l’assaut sur la grotte d’Ouvéa entre les deux tours de la présidentielle de 1988, grâce à un texte singulier prolongeant les accords de Matignon, signés sous l’égide de Michel Rocard dix ans auparavant.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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