La passion de Patrick Saurin pour l'histoire des sociétés précolombiennes de la Mésoamérique est de celles qui dévorent leur impétrant. En soi, il est toujours remarquable qu'un de ces historiens au chevet de civilisations dûment déclarées mortelles se saisisse à ce point de son objet de recherche qu'il en propose une traduction, qui plus est en émargeant là où on ne l'attend pas forcément – en l'occurrence du côté de la poésie. Patrick Saurin pousse ainsi le don de soi jusqu'à livrer ces Fleurs de l'intérieur du ciel, des «Chants de l'ancien Mexique» datés de cinq siècles.
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