Ça branle dans le manche numérique. Parallèlement à la chasse aux chasseurs d’alerte – rien de gênant ne doit s’inscrire sur la Toile –, prospère une campagne en faveur du “droit à l’oubli” – rien de gênant ne soit persister sur la Toile. Un projet de règlement européen, précédé d’une consultation de la Cnil, entend consacrer une forme de gommage numérique. L’e-réputation sera sauve !
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