Associer le nom de Daniel Lindenberg à la seule tempête médiatique qui a semé la panique dans le milieu intellectuel hexagonal en 2002 laisse entendre que l’auteur du Rappel à l’ordre (Seuil/La République des idées) cherchait la castagne « pour faire un coup ». C’est oublier que Lindenberg laisse une œuvre qui n’est pas sans cohérence et dont les diverses publications s’étendent sur près de quarante années. Certes la mémoire est courte par les temps qui courent.
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