Villeurbane (Rhône). – Les mots qui résonnent dans un théâtre vidé de ses spectateurs par l’épidémie que l’on sait ne peuvent que prendre une force singulière. Que dire alors des mots de Valère Novarina ? Au Théâtre national populaire (TNP) de Villeurbanne, qui n’en finit pas de remettre sur le métier, au gré des interdictions gouvernementales, Le Jeu des ombres dans la mise en scène de Jean Bellorini, des répliques donnent le vertige : « Souhaitons au lendemain d’avoir lieu. » Ou alors : « Et je continuerai à vivre, uniquement pour me venger d’exister. » Ou encore : « Que vas-tu faire là-bas ? — Fermer la paupière du monde. »
Villeurbane (Rhône). – Les mots qui résonnent dans un théâtre vidé de ses spectateurs par l’épidémie que l’on sait ne peuvent que prendre une force singulière. Que dire alors des mots de Valère Novarina ? Au Théâtre national populaire (TNP) de Villeurbanne, qui n’en finit pas de remettre sur le métier, au gré des interdictions gouvernementales, Le Jeu des ombres dans la mise en scène de Jean Bellorini, des répliques donnent le vertige : « Souhaitons au lendemain d’avoir lieu. » Ou alors : « Et je continuerai à vivre, uniquement pour me venger d’exister. » Ou encore : « Que vas-tu faire là-bas ? — Fermer la paupière du monde. »
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