Parmi les 607 titres de cette rentrée littéraire 2014, trois romans des transports, autour de « naufragés du ciel » (Adrien Bosc), « taupes » et « rats » (Dalibor Frioux), réflexions sur « les irrésistibles beautés des machines » (Bellanger) : sur et sous terre, dans le ciel, des « vies encloses en destinées », comme l’écrit Adrien Bosc. Ces trois récits ont en commun de faire de la « carlingue d’un Constellation », des rames et wagons d’un RER A ou d'un TGV des concentrés d’humanité, des fables sur les hasards et coïncidences, sur ce qui mue des vies en destins collectifs, « visant une fatalité plus complexe, en attribuant un sens métaphysique à l'événement fatal, en lui prêtant une cause supérieure et surnaturelle » (Bellanger).
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