Lorsqu’à 25 ans, Shulamith Firestone publia La Dialectique du sexe (1970), elle avait déjà commencé à s’éloigner des mouvements féministes radicaux qu’elle avait contribué à créer à Chicago et à New York. L’extraordinaire succès de son livre, la postérité de son action militante n’empêchèrent pas le reste de son existence de n’être qu’une suite d’effondrements psychiques et de difficultés financières. Elle mourut seule chez elle, probablement de faim, en 2012. Hormis Zones mortes, paru en anglais en 1998 et en français aujourd’hui, un petit recueil autobiographique que des amis l’avaient poussée à écrire, elle n’avait rien publié depuis 1970. Ce fut d’ailleurs son dernier ouvrage.
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Lorsqu’à 25 ans, Shulamith Firestone publia La Dialectique du sexe (1970), elle avait déjà commencé à s’éloigner des mouvements féministes radicaux qu’elle avait contribué à créer à Chicago et à New York. L’extraordinaire succès de son livre, la postérité de son action militante n’empêchèrent pas le reste de son existence de n’être qu’une suite d’effondrements psychiques et de difficultés financières. Elle mourut seule chez elle, probablement de faim, en 2012. Hormis Zones mortes, paru en anglais en 1998 et en français aujourd’hui, un petit recueil autobiographique que des amis l’avaient poussée à écrire, elle n’avait rien publié depuis 1970. Ce fut d’ailleurs son dernier ouvrage.
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