Ce livre-là, peut-être, ne pouvait être écrit que par un Cubain. Sans l'empathie souterraine qui le traverse, cette intimité avec le système, ce ne serait qu'un roman historique formidablement documenté et mené, retraçant une histoire assez connue: l'exil de Trotski, son assassinat, en août 1940 par l'ancien combattant anti-franquiste Ramon Mercader, téléguidé par Staline. Trotski, Mercader, et Ivan, écrivain cubain empêché: L'Homme qui aimait les chiens, fresque en trois volets, explore trois voies vers la désillusion, comme trois cercles de l'enfer. Avec limbes et antichambres. C'est aussi un grand livre sur la peur, y compris celle de ne plus croire.
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Ce livre-là, peut-être, ne pouvait être écrit que par un Cubain. Sans l'empathie souterraine qui le traverse, cette intimité avec le système, ce ne serait qu'un roman historique formidablement documenté et mené, retraçant une histoire assez connue: l'exil de Trotski, son assassinat, en août 1940 par l'ancien combattant anti-franquiste Ramon Mercader, téléguidé par Staline. Trotski, Mercader, et Ivan, écrivain cubain empêché: L'Homme qui aimait les chiens, fresque en trois volets, explore trois voies vers la désillusion, comme trois cercles de l'enfer. Avec limbes et antichambres. C'est aussi un grand livre sur la peur, y compris celle de ne plus croire.
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