La crise a bon dos. La liquidation de la Maison de l’histoire de France procède officiellement de raisons comptables. Aurélie Filippetti, ministre de la culture, lâchait sa sentence au mois d’août sur France Inter : « Projet extrêmement coûteux » (80 millions d’euros auxquels s’ajoutaient 7 millions déjà dépensés pour l’avant-projet, selon Mme Filippetti). Quatre mois plus tard, l’acte de décès paraît au Journal officiel : « Décret du 24 décembre 2012 portant dissolution de la Maison de l’histoire de France.» Son premier article stipule : « L'établissement public Maison de l'histoire de France est dissous. Les biens, droits et obligations de cet établissement sont transférés à l'État. »
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La crise a bon dos. La liquidation de la Maison de l’histoire de France procède officiellement de raisons comptables. Aurélie Filippetti, ministre de la culture, lâchait sa sentence au mois d’août sur France Inter : « Projet extrêmement coûteux » (80 millions d’euros auxquels s’ajoutaient 7 millions déjà dépensés pour l’avant-projet, selon Mme Filippetti). Quatre mois plus tard, l’acte de décès paraît au Journal officiel : « Décret du 24 décembre 2012 portant dissolution de la Maison de l’histoire de France.» Son premier article stipule : « L'établissement public Maison de l'histoire de France est dissous. Les biens, droits et obligations de cet établissement sont transférés à l'État. »
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