Filippetti : «C'est l'éditeur qui fait la littérature.»

En marge de l'Assemblée générale du Syndicat national de l'édition, la ministre de la culture a assuré qu'il n'y avait pas de littérature sans éditeur :  « Même si on se publie soi-même, et que l'on peut toucher un public au travers des réseaux, on n'a pas cette reconnaissance de se sentir écrivain. L'écrivain ne naît qu'au travers du regard de l'éditeur. »A lire sur ActuaLitté

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En marge de l'Assemblée générale du Syndicat national de l'édition, la ministre de la culture a assuré qu'il n'y avait pas de littérature sans éditeur :  « L'éditeur a un rôle éminent dans le processus de création. C'est une question passionnante. Et sans entrer dans un débat philosophique sur le processus de création, quand on écrit, chez soi, on a besoin d'avoir le regard d'un éditeur, pour venir sanctionner, dans le bon sens du terme. C'est-à-dire, donner le jugement d'un professionnel, sur le texte que l'on est en train de rédiger. Et sans cela, même si on se publie soi-même, et que l'on peut toucher un public au travers des réseaux, on n'a pas cette reconnaissance de se sentir écrivain. L'écrivain ne naît qu'au travers du regard de l'éditeur. »

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