Cette série d’articles atteignant son numéro trois, on commence à le savoir : être dans une série, c’est être condamné à l’image. Y revenir sans cesse sans même avoir eu le loisir de la quitter entre deux épisodes. Y être, en être, lui appartenir. Devenir sa chose. La réponse des héros est bien souvent négative, réactive : ils prennent un air mauvais, ne tolèrent d'être à l'image qu’à la condition de rendre palpable, constamment, qu’ils préféreraient ne pas.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous