« En dépit de l'attention croissante aux problèmes d'inconduite scientifique, les efforts pour promouvoir l'intégrité en recherche restent inefficaces », reconnaissait en 2010 dans les colonnes de Nature, Sandra Titus, responsable des sciences de la santé de l'Office of Research Integrity américain. Pourtant, propositions et initiatives ne manquent pas pour s'attaquer au problème. Après de longues années de cécité plus ou moins volontaire, la communauté scientifique internationale semble décidée à affronter la question de la dégradation de la qualité des articles en biologie et en médecine. Quitte à réformer en profondeur les règles du jeu de la science.
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« En dépit de l'attention croissante aux problèmes d'inconduite scientifique, les efforts pour promouvoir l'intégrité en recherche restent inefficaces », reconnaissait en 2010 dans les colonnes de Nature, Sandra Titus, responsable des sciences de la santé de l'Office of Research Integrity américain. Pourtant, propositions et initiatives ne manquent pas pour s'attaquer au problème. Après de longues années de cécité plus ou moins volontaire, la communauté scientifique internationale semble décidée à affronter la question de la dégradation de la qualité des articles en biologie et en médecine. Quitte à réformer en profondeur les règles du jeu de la science.
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