« Aucune autre femme en Russie ne suscitait l’adoration de la masse du peuple comme elle, écrit la journaliste américaine Louis Bryant, correspondante de presse en Russie en 1917. Les soldats et les marins s’adressaient à elle en lui disant “chère camarade”, au lieu du simple “tovarich” habituel. »[1](Les notes de cet article sont à lire sous l’onglet Prolonger.) Cinquante ans plus tard, le journaliste russe Arkady Vaksberg dit la même chose. Au début de la révolution, écrit-il, « la femme la plus populaire de Russie était Maria Spiridonova […], dont la ténacité et le courage étaient légendaires. Elle avait connu les souffrances du bagne et, maintenant libérée par la révolution, elle remportait un immense succès dans les meetings. »[2]
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« Aucune autre femme en Russie ne suscitait l’adoration de la masse du peuple comme elle, écrit la journaliste américaine Louis Bryant, correspondante de presse en Russie en 1917. Les soldats et les marins s’adressaient à elle en lui disant “chère camarade”, au lieu du simple “tovarich” habituel. »[1] (Les notes de cet article sont à lire sous l’onglet Prolonger.) Cinquante ans plus tard, le journaliste russe Arkady Vaksberg dit la même chose. Au début de la révolution, écrit-il, « la femme la plus populaire de Russie était Maria Spiridonova […], dont la ténacité et le courage étaient légendaires. Elle avait connu les souffrances du bagne et, maintenant libérée par la révolution, elle remportait un immense succès dans les meetings. »[2]
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