Une famille d’origine algérienne entre dans l’histoire de France
Les Belhoumi incarnent à merveille les familles algériennes venues en France dans les années 1970. Le sociologue Stéphane Beaud a écouté cinq ans durant, entre 2012 et 2017, la fratrie et les parents lui raconter leur vie de ces trente dernières années. Le récit foisonnant et entraînant grave dans la banalité leur destin dans l’histoire française.
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Rien n’est plus difficile que d’écrire sur la banalité. Qu’apporter de nouveau sur une famille d’immigrés algériens en France, eu égard à l’abondance de la littérature sur le sujet ? Le sociologue Stéphane Beaud s’y est risqué avec La France des Belhoumi, sous-titrée Portraits de famille (1977-2017. Dans cette monographie sociologique, qui emprunte la forme d’un récit vivant, il ambitionne de livrer un éclairage différent sur les familles issues de l’immigration post-coloniale. Ou de confirmer ce que s’échine à dire celle que l’on baptise la deuxième, troisième ou quatrième génération sur « son intégration » voire son assimilationen France. Oui, ces enfants sont français, sans conditions, et oui, ils assument leurs contradictions et leur double culture.
Depuis quatre mois, les fragiles équilibres d’un marché déjà tendu sont rompus. L’énergie est devenue un terrain d’affrontement entre les États-Unis et la Russie. En juin, pour la première fois de son histoire, l’Europe a plus importé de gaz américain que russe.
Avec l’irruption de l’inflation s’engage une nouvelle phase de la crise du capitalisme. Désormais, celle-ci semble totale et multidimensionnelle. En trouver l’issue sera de plus en plus complexe.
La secrétaire d’État et gynécologue Chrysoula Zacharopoulou est accusée de « viol » et de « violences » par des patientes, à la suite du professeur Daraï, qui fut son chef de service. Les gynécologues rejettent le terme de viol en cas d’examen gynécologique. Les militantes fustigent un déni des violences.
Dans son verdict condamnant le dixième homme des commandos de Paris à une peine de perpétuité incompressible, la cour d’assises spéciale souligne « son absence de réflexion réelle » et « sa volonté de ne pas trahir l’État islamique ».
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