Le sort fait aux vieilles gens, au plus fort de la pandémie, doit être appréhendé en un double mouvement contradictoire. D’une part le monde a semblé s’arrêter de tourner pour les préserver ; d’autre part leur sacrifice est apparu patent.
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Le sort fait aux vieilles gens, au plus fort de la pandémie, doit être appréhendé en un double mouvement contradictoire. D’une part le monde a semblé s’arrêter de tourner pour les préserver ; d’autre part leur sacrifice est apparu patent.
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