La déposition de la principale enquêtrice, puis les confidences enregistrées de la magistrate avaient déjà amené à se poser de sérieuses questions sur la conduite judiciaire de l’affaire Kerviel. Mais aujourd’hui, ce sont les récits de deux banquiers qui viennent battre en brèche la version officielle de la banque. Et pas des moindres : Philippe Dupont, ancien président des Banques populaires, et Georges Pauget, ancien directeur du Crédit agricole. D’après leurs propos, recueillis par la journaliste financière Marie-Jeanne Pasquette, tout ne s’est pas déroulé comme l’a expliqué la banque. Le lourd secret semble avoir été partagé par plusieurs banques, bien avant que l’affaire Kerviel ne soit rendue publique. Au nom d’un consensus de place, par peur d’une crise systémique, pourrait-on dire.
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La déposition de la principale enquêtrice, puis les confidences enregistrées de la magistrate avaient déjà amené à se poser de sérieuses questions sur la conduite judiciaire de l’affaire Kerviel. Mais aujourd’hui, ce sont les récits de deux banquiers qui viennent battre en brèche la version officielle de la banque. Et pas des moindres : Philippe Dupont, ancien président des Banques populaires, et Georges Pauget, ancien directeur du Crédit agricole. D’après leurs propos, recueillis par la journaliste financière Marie-Jeanne Pasquette, tout ne s’est pas déroulé comme l’a expliqué la banque. Le lourd secret semble avoir été partagé par plusieurs banques, bien avant que l’affaire Kerviel ne soit rendue publique. Au nom d’un consensus de place, par peur d’une crise systémique, pourrait-on dire.
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