«Carnage », « trahison », « mensonges ». Devant le siège français de Nokia, à Nozay (Essonne), sur le très tranquille plateau de Saclay, d’inhabituels mots de colère fusent. Mardi 30 juin, devant les grilles, au moins 400 salariés de l’équipementier télécom sont rassemblés à l’appel de l’intersyndicale, pour dénoncer le plan social annoncé une semaine plus tôt par la direction.
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«Carnage », « trahison », « mensonges ». Devant le siège français de Nokia, à Nozay (Essonne), sur le très tranquille plateau de Saclay, d’inhabituels mots de colère fusent. Mardi 30 juin, devant les grilles, au moins 400 salariés de l’équipementier télécom sont rassemblés à l’appel de l’intersyndicale, pour dénoncer le plan social annoncé une semaine plus tôt par la direction.
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