L’infraction commise par ArcelorMittal peut être qualifiée « d’homicide involontaire », telle est la conclusion du procès-verbal de l’inspecteur du travail, suite au décès d’un intérimaire, tombé en juillet 2015 dans une rigole de fonte en fusion à 1 500 degrés, dans l’usine de Dunkerque.
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L’infraction commise par ArcelorMittal peut être qualifiée « d’homicide involontaire », telle est la conclusion du procès-verbal de l’inspecteur du travail, suite au décès d’un intérimaire, tombé en juillet 2015 dans une rigole de fonte en fusion à 1 500 degrés, dans l’usine de Dunkerque.
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