La désignation lundi 4 décembre du ministre portugais des finances, Mario Centeno, à la présidence de l’Eurogroupe a été présentée par les socialistes qui gouvernent à Lisbonne comme la reconnaissance d’une politique « alternative » à la rigueur budgétaire donnant généralement le ton dans cette instance informelle réunissant les 19 grands argentiers des pays participant à la monnaie unique. Une prétention qui n’est guère partagée par les communistes et les « bloquistes » dont le soutien parlementaire a permis en 2015 l’avènement de la « geringonça » (le « machin »). Et qui fait sourire ceux qui regardent la politique d’équilibre des comptes publics suivie par Centeno comme une poursuite de l’austérité par d’autres moyens, furtive en quelque sorte.
La désignation lundi 4 décembre du ministre portugais des finances, Mario Centeno, à la présidence de l’Eurogroupe a été présentée par les socialistes qui gouvernent à Lisbonne comme la reconnaissance d’une politique « alternative » à la rigueur budgétaire donnant généralement le ton dans cette instance informelle réunissant les 19 grands argentiers des pays participant à la monnaie unique. Une prétention qui n’est guère partagée par les communistes et les « bloquistes » dont le soutien parlementaire a permis en 2015 l’avènement de la « geringonça » (le « machin »). Et qui fait sourire ceux qui regardent la politique d’équilibre des comptes publics suivie par Centeno comme une poursuite de l’austérité par d’autres moyens, furtive en quelque sorte.
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