Dans De la démocratie en Europe, le livre qu’il a cosigné avec l’eurodéputée libérale française Sylvie Goulard, Mario Monti avait retenu une formule d’un petit pamphlet, L’Europe malade de la démocratie, qui avait précédé leur ouvrage de quelques années sur ce thème glissant : « Un homme politique avisé ne sort jamais sans son bouc émissaire. » Comme j’en suis l’auteur, je vais me permettre de compléter la citation, qui colle si bien aux résultats des récentes élections italiennes, même si elle est un peu longue.
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Dans De la démocratie en Europe, le livre qu’il a cosigné avec l’eurodéputée libérale française Sylvie Goulard, Mario Monti avait retenu une formule d’un petit pamphlet, L’Europe malade de la démocratie, qui avait précédé leur ouvrage de quelques années sur ce thème glissant : « Un homme politique avisé ne sort jamais sans son bouc émissaire. » Comme j’en suis l’auteur, je vais me permettre de compléter la citation, qui colle si bien aux résultats des récentes élections italiennes, même si elle est un peu longue.
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