Le scénario est désormais bien réglé. Comme après chaque grande révélation sur l’ampleur de l’évasion fiscale dans le monde, les responsables politiques se sont précipités pour dire leur indignation, après les premières publications des « Paradise Papers ». Comme s’ils semblaient tout découvrir. Comme s’il n’y avait jamais eu avant les LuxLeaks, la liste HSBC, les carnets d’UBS, les « Panama Papers », les Malta Files, les témoignages des lanceurs d’alerte, les rapport d’ONG comme Oxfam, Tax Justice Network, ou CCFD-Terre solidaire, les études de Nicholas Shaxson ou de Gabriel Zucman sur les paradis fiscaux (voir notre dossier), comme si aucun rapport parlementaire n’avait existé depuis dix ans sur le sujet.
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Le scénario est désormais bien réglé. Comme après chaque grande révélation sur l’ampleur de l’évasion fiscale dans le monde, les responsables politiques se sont précipités pour dire leur indignation, après les premières publications des « Paradise Papers ». Comme s’ils semblaient tout découvrir. Comme s’il n’y avait jamais eu avant les LuxLeaks, la liste HSBC, les carnets d’UBS, les « Panama Papers », les Malta Files, les témoignages des lanceurs d’alerte, les rapport d’ONG comme Oxfam, Tax Justice Network, ou CCFD-Terre solidaire, les études de Nicholas Shaxson ou de Gabriel Zucman sur les paradis fiscaux (voir notre dossier), comme si aucun rapport parlementaire n’avait existé depuis dix ans sur le sujet.
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