Pimkie, PSA et Le Figaro sont les premiers à se lancer publiquement. Alors qu’un certain nombre de projets chauffent dans les services ressources humaines de grandes entreprises (notamment dans les banques, l’énergie ou les médias), ces trois groupes ont annoncé vouloir mettre en place des plans de rupture conventionnelle collective. Le dispositif, issu des ordonnances Macron, permet plus facilement qu’auparavant de se séparer d’une partie de son personnel.
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