Dans la croisade qu’il mène pour essayer de faire sécession du groupe Crédit mutuel, Jean-Pierre Denis, qui préside Arkéa (regroupement des fédérations de Bretagne, du Sud-Ouest et du Massif central de la banque), ne cesse de répéter, la main sur le cœur, qu’il veut conquérir son indépendance, mais surtout pas sortir du mutualisme. Pour quiconque cherche la confirmation que l’engagement n’est sans doute pas très sincère, il suffit – après beaucoup d’autres indices – d’ouvrir le dernier « document de référence » d’Arkéa pour 2017, qui vient tout juste d’être transmis à l’Autorité des marchés financiers (AMF) : on y trouve plusieurs indications qui sèment le doute sur le projet officiel.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Dans la croisade qu’il mène pour essayer de faire sécession du groupe Crédit mutuel, Jean-Pierre Denis, qui préside Arkéa (regroupement des fédérations de Bretagne, du Sud-Ouest et du Massif central de la banque), ne cesse de répéter, la main sur le cœur, qu’il veut conquérir son indépendance, mais surtout pas sortir du mutualisme. Pour quiconque cherche la confirmation que l’engagement n’est sans doute pas très sincère, il suffit – après beaucoup d’autres indices – d’ouvrir le dernier « document de référence » d’Arkéa pour 2017, qui vient tout juste d’être transmis à l’Autorité des marchés financiers (AMF) : on y trouve plusieurs indications qui sèment le doute sur le projet officiel.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous