Pendant la crise, les affaires continuent à la Société générale. Ni la crise, ni l'effondrement financier, ni les pertes passées de la banque, ni l'affaire Kerviel ne semblent avoir perturbé Daniel Bouton, le président de l'établissement. Ou l'inciter à un peu de retenue. Le business, en tout cas, son petit business, prospère mois après mois. Il achète et vend les actions de sa banque, spécule et s'enrichit pour son compte personnel, comme auparavant. C'est ce qu'on apprend à la lecture de ses déclarations à l'Autorité des marchés financiers (AMF).
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Pendant la crise, les affaires continuent à la Société générale. Ni la crise, ni l'effondrement financier, ni les pertes passées de la banque, ni l'affaire Kerviel ne semblent avoir perturbé Daniel Bouton, le président de l'établissement. Ou l'inciter à un peu de retenue. Le business, en tout cas, son petit business, prospère mois après mois. Il achète et vend les actions de sa banque, spécule et s'enrichit pour son compte personnel, comme auparavant. C'est ce qu'on apprend à la lecture de ses déclarations à l'Autorité des marchés financiers (AMF).
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