Depuis le début de la pandémie, les assureurs refusent d’indemniser des milliers d’indépendants et commerçants pour leurs pertes d’exploitation. Certains « bancassureurs » ont décidé cependant de briser la règle, à la grande fureur du secteur. Des commerçants étudient des actions collectives pour faire valoir leurs droits.
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Depuis des années, les artisans, les commerçants, les hôteliers, les restaurateurs paient des centaines, voire des milliers d’euros par an pour se couvrir et protéger leur activité. Certains ont opté pour des contrats en multirisques, avec une assurance en perte d’exploitation, en cas de perte de chiffre d’affaires liée à une fermeture administrative. Ainsi, quand le décret du 14 mars tombe, leur enjoignant de fermer leurs portes, ils ont naturellement appelé leur assureur.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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