Une décision judiciaire tellement brûlante d’actualité qu’elle en devient symbolique, et même presque gênante pour toutes les parties impliquées. Le temps d’un long week-end de pont, la suspension de l’activité de l’usine Renault à Sandouville (Seine-Maritime), décidée le 7 mai par le tribunal du Havre, a enflammé le débat politico-social. Le 24 avril, en contestant en référé (la procédure d’urgence) les modalités de reprise d’activité dans cette usine de 1 900 salariés et 700 intérimaires, la CGT Renault ne s’attendait peut-être pas à toucher un nerf.
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Une décision judiciaire tellement brûlante d’actualité qu’elle en devient symbolique, et même presque gênante pour toutes les parties impliquées. Le temps d’un long week-end de pont, la suspension de l’activité de l’usine Renault à Sandouville (Seine-Maritime), décidée le 7 mai par le tribunal du Havre, a enflammé le débat politico-social. Le 24 avril, en contestant en référé (la procédure d’urgence) les modalités de reprise d’activité dans cette usine de 1 900 salariés et 700 intérimaires, la CGT Renault ne s’attendait peut-être pas à toucher un nerf.
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