Il y a eu un manifeste, un premier livre, des débats. Mais alors que la campagne présidentielle s’engage, Les Économistes atterrés se sont dit qu’ils ne pouvaient en rester là, qu’il y avait urgence à dépasser le constat de l’échec du néolibéralisme, acté par la crise de 2008. Pour eux, il est temps de présenter d’autres alternatives. Car à part une partie de la gauche – allant de la France insoumise aux écologistes, en passant par des frondeurs –, c’est comme si la classe politique était incapable de tirer la moindre conclusion des huit années de crise, comme si elle restait même totalement sourde aux débats comme aux convulsions du monde, incarnées par le vote du Brexit ou l’élection d’un Trump comme président des États-Unis.
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Il y a eu un manifeste, un premier livre, des débats. Mais alors que la campagne présidentielle s’engage, Les Économistes atterrés se sont dit qu’ils ne pouvaient en rester là, qu’il y avait urgence à dépasser le constat de l’échec du néolibéralisme, acté par la crise de 2008. Pour eux, il est temps de présenter d’autres alternatives. Car à part une partie de la gauche – allant de la France insoumise aux écologistes, en passant par des frondeurs –, c’est comme si la classe politique était incapable de tirer la moindre conclusion des huit années de crise, comme si elle restait même totalement sourde aux débats comme aux convulsions du monde, incarnées par le vote du Brexit ou l’élection d’un Trump comme président des États-Unis.
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