Un chapitre du nouveau livre de Bill Emmott, The Fate of the West (Le Destin de l’Occident), s’ouvre sur cette réflexion de Djalâl ad-Dîn Muhammad Roumi, grand poète persan : « Hier, j’étais intelligent et par conséquent, je voulais changer le monde. Aujourd’hui, je suis sage et c’est moi-même que je change. » L’Occident, un concept davantage encore qu’une géographie, doit avant tout se guérir du cancer interne qui le ronge si « l’idée politique qui a connu, de très loin, le plus grand succès mondial » veut se donner une chance de survivre.
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Un chapitre du nouveau livre de Bill Emmott, The Fate of the West (Le Destin de l’Occident), s’ouvre sur cette réflexion de Djalâl ad-Dîn Muhammad Roumi, grand poète persan : « Hier, j’étais intelligent et par conséquent, je voulais changer le monde. Aujourd’hui, je suis sage et c’est moi-même que je change. » L’Occident, un concept davantage encore qu’une géographie, doit avant tout se guérir du cancer interne qui le ronge si « l’idée politique qui a connu, de très loin, le plus grand succès mondial » veut se donner une chance de survivre.
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