Rome (correspondance).- Toute ressemblance avec la situation française n’a désormais plus lieu d’être. La réforme du marché du travail menée par le gouvernement français a semblé s’inspirer dans un premier temps de la méthode Renzi appliquée en Italie pour mettre en œuvre son « Jobs Act ». Une mesure d’inspiration libérale, un passage en force législatif, et une hostilité du peuple de gauche balayée par le premier ministre italien. Et si le pouvoir élu par la gauche en France semble finalement diverger quant à la méthode, il n’est pas inintéressant de dresser, avec le recul, un premier bilan de la réforme Renzi, dont les similarités idéologiques et communicationnelles avec Manuel Valls ont déjà été soulignées à maintes reprises. À la différence que l’un, partageant le pouvoir avec le président, n’a pas les mains aussi libres que l’autre.
Rome (correspondance).- Toute ressemblance avec la situation française n’a désormais plus lieu d’être. La réforme du marché du travail menée par le gouvernement français a semblé s’inspirer dans un premier temps de la méthode Renzi appliquée en Italie pour mettre en œuvre son « Jobs Act ». Une mesure d’inspiration libérale, un passage en force législatif, et une hostilité du peuple de gauche balayée par le premier ministre italien. Et si le pouvoir élu par la gauche en France semble finalement diverger quant à la méthode, il n’est pas inintéressant de dresser, avec le recul, un premier bilan de la réforme Renzi, dont les similarités idéologiques et communicationnelles avec Manuel Valls ont déjà été soulignées à maintes reprises. À la différence que l’un, partageant le pouvoir avec le président, n’a pas les mains aussi libres que l’autre.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous