C’est une décision de justice qui va réconforter tous ceux qui sont attachés au droit de savoir citoyen, et qui va inquiéter tous ceux, à Bercy ou à l’Élysée, qui veillent à imposer l’omerta sur certaines décisions publiques : dans une décision rendue le 18 mars, qui va faire jurisprudence, le Conseil d’État, saisi par le militant écologiste grenoblois Raymond Avrillier, ordonne la communication de l’accord secret, récemment dévoilé par Mediapart, conclu en 2015 par Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, et la ministre de l’écologie Ségolène Royal, avec les sociétés concessionnaires des autoroutes.
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C’est une décision de justice qui va réconforter tous ceux qui sont attachés au droit de savoir citoyen, et qui va inquiéter tous ceux, à Bercy ou à l’Élysée, qui veillent à imposer l’omerta sur certaines décisions publiques : dans une décision rendue le 18 mars, qui va faire jurisprudence, le Conseil d’État, saisi par le militant écologiste grenoblois Raymond Avrillier, ordonne la communication de l’accord secret, récemment dévoilé par Mediapart, conclu en 2015 par Emmanuel Macron, alors ministre de l’économie, et la ministre de l’écologie Ségolène Royal, avec les sociétés concessionnaires des autoroutes.
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