Pourquoi le groupe nucléaire s'est-il précipité, en pleine bulle boursière, pour acheter un petit groupe minier objet de toutes les spéculations? Pourquoi la production d'uranium promise au moment de ce rachat de 2,5 milliards de dollars n'est-elle pas au rendez-vous? Deux députés vont tenter d'avoir quelques éclaircissements.
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Brusquement, la loi du silence qui semblait entourer Areva paraît se briser depuis l'annonce du non-renouvellement d'Anne Lauvergeon à la présidence du groupe nucléaire. Tandis que les salariés se déchirent à l'intérieur du groupe entre les fidèles d'Anne Lauvergeon et ceux qui souhaitent tourner la page, à l'extérieur les langues commencent à se délier. Soudain, le « bon bilan » n'apparaît plus aussi solide. Des dossiers, soigneusement enterrés, reviennent à la surface. Et parmi ceux-ci, celui d'Uramin, un groupe minier canadien d'uranium racheté en 2007.
L’arrivée au pouvoir de Xi Jinping il y a près de dix ans a été marquée par un durcissement du contrôle du débat public en Chine, en particulier sur les réseaux sociaux. Les critiques de la politique « zéro Covid » ou de la guerre déclenchée en Ukraine par l’allié russe viennent d’en faire les frais.
Après quelque 150 projections-débats dans des cinémas partout en France, « Media Crash » est désormais disponible sur Mediapart, avec des bonus. Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
par
Valentine Oberti
et Luc Hermann (Premières lignes)
Attentats du 13-Novembre : les grands entretiens
— Entretien
Le commissaire divisionnaire SI 562 – le nom de code le désignant – a dirigé la section chargée des enquêtes judiciaires liées au terrorisme islamique à la DGSI, entre 2013 et 2020. Il offre à Mediapart une plongée inédite dans les arcanes du service de renseignement.
L’affaire Patrick Poivre d’Arvor est symptomatique de la culture de l’impunité et de la tolérance sociale qui a longtemps prévalu, notamment dans les entreprises, concernant les comportements sexuels problématiques. Elle est aussi le reflet du chemin qu’il nous reste à parcourir.
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