C’est un dossier dit « sensible », qui pourrait bien éclater à l'automne. Depuis plusieurs semaines, l’Élysée et Matignon, de concert avec le ministère des transports, suivent de très près l’avenir de la Société nationale Corse Méditerranée (SNCM), sous le coup d'une amende infligée en mai par la commission européenne.
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C’est un dossier dit « sensible », qui pourrait bien éclater à l'automne. Depuis plusieurs semaines, l’Élysée et Matignon, de concert avec le ministère des transports, suivent de très près l’avenir de la Société nationale Corse Méditerranée (SNCM), sous le coup d'une amende infligée en mai par la commission européenne.
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