C’est devenu un passage obligé des interventions gouvernementales. Lorsqu’ils évoquent la situation économique et sociale déclenchée par la pandémie de Covid-19, les ministres se félicitent immanquablement de l’utilisation très large du chômage partiel, réponse indéniablement efficace pour éviter les licenciements trop massifs – au moins sur le court terme. Au plus fort de la crise en avril, 8,6 millions de salariés ont bénéficié de ce dispositif, qui leur permet de voir 84 % de leur salaire net pris en charge par l’État (100 % au niveau du Smic). En août, selon les derniers chiffres du ministère du travail, 1,3 million de salariés étaient encore concernés.
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C’est devenu un passage obligé des interventions gouvernementales. Lorsqu’ils évoquent la situation économique et sociale déclenchée par la pandémie de Covid-19, les ministres se félicitent immanquablement de l’utilisation très large du chômage partiel, réponse indéniablement efficace pour éviter les licenciements trop massifs – au moins sur le court terme. Au plus fort de la crise en avril, 8,6 millions de salariés ont bénéficié de ce dispositif, qui leur permet de voir 84 % de leur salaire net pris en charge par l’État (100 % au niveau du Smic). En août, selon les derniers chiffres du ministère du travail, 1,3 million de salariés étaient encore concernés.
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