Alcatel-Lucent : Enquête sur un désastre industriel

Le conseil d'administration du groupe s'est réuni mardi 25 mars, dans un climat de forte inquiétude. Car le mariage entre le Français Alcatel et l'Américain Lucent a tourné au désastre : plus de 16.000 suppressions d'emploi annoncées; 3,5 milliards d'euros de perte; une capitalisation boursière tombée de 28 à 8,2 milliards. Notre enquête sur ce groupe, emblématique des mutations du capitalisme, sera mise en ligne en trois volets.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

« Nous sommes dans une impasse.» «Personne ne sait comment sortir de la situation.» Alors que le conseil d'administration d'Alcatel-Lucent s'est réuni mardi 25 mars, aux Etats-Unis, dans le New Jersey, les esprits sont sur le qui-vive dans le groupe spécialisé dans les équipements de télécommunications. Quelles mauvaises nouvelles vont être à nouveau annoncées ? Quels sacrifices vont être encore demandés à ce groupe qui a déjà décidé plus de 16.000 suppressions d'emplois en un an ? «Cette fois-ci, le conseil ne pourra pas se défiler, si le groupe prévoit de nouvelles pertes», assure un analyste.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal