Les gardes à vue ont été levées pour les onze membres d’une association pro-euthanasie, interpellés dans le cadre d’une enquête sur un trafic en France de Pentobarbital, un puissant anesthésiant parfois utilisé pour l’aide au suicide, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous