Les harkis demandent un travail « sans parti pris idéologique, ni falsification » à l’historien français Benjamin Stora chargé, avec un expert algérien, d’une mission sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », alors que l’Algérie veut les exclure de cette réflexion.
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Les harkis demandent un travail « sans parti pris idéologique, ni falsification » à l’historien français Benjamin Stora chargé, avec un expert algérien, d’une mission sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie », alors que l’Algérie veut les exclure de cette réflexion.
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